NOTES

 

Le manuscrit donne le nom complet, d’ailleurs facile à deviner, de cette vindicative lady : Blessington, Marguerite Gardiner, comtesse de –. Son livre Conversations de lord Byron avec la comtesse de Blessington; pour faire suite aux mémoires publiés par Thomas Moore, est traduit et publié à Paris en 1833. Il ne me semble pas contenir d’ « abominations » bien intéressantes.
Glenarvon, publié en 1816, est le titre de l’ « autofiction », plus salée que les « Conversations », publiée par lady Caroline Lamb, fille de Frederick Ponsonby, 3° comte de Bessborough, et de lady Henriette Frances Spencer, sœur de Georgina Cavendish, duchesse de Devonshire, mais surtout amante de lord Byron durant quelques mois de l’année 1812.